Les gravures d'Alfred Brux
Alfred BRUX est un artiste né le 19 novembre 1921 à Mont Sainte Aldegonde et mort le 6 mars 2003 à Braine Le Comte. Il est l'auteur de nombreuses aquarelles, peintures ou lithographies, principalement de Braine Le Comte et des environs. Voici quelques une de ses oeuvres consacrées au charmant village de Hennuyères;
La première église d'Hennuyères
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L'église Ste Gertrude
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Il y eut d’abord une église romane, très petite, dont le chœur existe toujours. On y adjoignit par la suite deux chapelles qu’on accola à la tour : l’une au Nord, l’autre vers la place. La tour fut démolie pour permettre l’agrandissement de la partie centrale en 1553.
L’église Ste Gertrude, telle qu’elle se présente aujourd’hui, est donc un monument restauré. Le chœur est roman, le transept est de 1518, la tour du clocher fut bâtie en 1553. Le reste de l’édifice date du 18eme siècle. Toutes ces modifications ont été réalisées par la chapitre de Nivelles, propriétaire de l’église d’Hennuyères jusqu’à la Révolution Française. Le sommet de la tour rappelle très bien le style du seizième siècle.
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La retenue d'eau du ri à la croix
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Au pied du château aujourd’hui disparu au centre du village, le long du ruisseau, une levée de terre avait été construite pour constituer une réserve d’eau afin d’alimenter le moulin. Au 12eme siècle, le chemin n’allait pas plus loin que le moulin et la ferme. Il mène aujourd’hui à la butte.
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Le chateau fort
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Le château fort devait se trouver là où est établi actuellement la Fraternité « Le Chemin » , auparavant l’école des Sœurs, à la rue du Chenois.
Vers le onzième siècle, on devait y trouver une tour en schiste entourée d’eau. On ne pouvait accéder, comme pour la plupart des châteaux de cette époque, que par un pont-levis. L’eau était facile à trouver grâce au petit ruisseau qui vient du vois de la Houssière, le ri à la croix. On trouvait un peu plus loin sur la gauche une ferme et la tour de l’église romane.
Au 14 eme siècle lorsqu’il n’était plus nécessaire d’avoir une demeure fortifiée, on entreprit de construire un « château moderne ». On peut se l’imaginer d’après le petit morceau qui reste dans la partie élevée de pierre derrière la tour de l’église, bâtiment restauré pour servir de cure.
Il n’était pas très grand, avec un étage. Pour ce qui est du corps de logis on a , tant au rez de chaussée qu’à l’étage deux fenêtres à gauche et trois à droite.
Ce château fut construit sur la partie de terre surélevée entre l’emplacement du château fort et l’église qu’on allait bientôt agrandir.
Dans l’environnement immédiat on trouvait aussi les tombes de l’ancien cimetière qui entourait l’église.
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Les moulins
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Les fermes
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La ferme d'Hodimont
Un joli portique digne d’une abbaye ou d’une seigneurie porte la date de 1827. Belle arcade en pierre, surmontée d’un pigeonnier, s’ouvre sur une cour carrée.
Sa situation en retrait, précédée d’une allée de peupliers, le long de la route de la gare, vers Virginal, ajoute encore à son attrait.
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La ferme du Warichaix ou ferme Wasnaire ou ferme Maes
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La première place communale
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La petite place carrée entourée de maisons, face au château disparu… On peut supposer que la maison communale ou de justice fut située à cet endroit ainsi que l’accès à un puit public.
Dans les années 1930, cette maison fut un commerce, puis un café. La demeure ne forme qu’une seule façade, le style a été enlevé avant 1960 mais a conservé ses très vieux et épais murs. |
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